Le feu, c’est la force, la passion, l’amour, l’esprit. L’incendie de la maison du grand-père est douloureux mais les souvenirs qui y sont nés ne sont pas morts. Le feu purifie aussi. C’est une sorte d’étape avant la renaissance, la résurrection. On brûle les champs pour une repousse encore plus verte.
Mais le feu détruit. Sa fumée étouffe. Le feu de la guerre est représenté dans le film. Il explose en champignon dans le ciel.
Texto (c) Chloé Bernard, "Tarkovski: Miroir du Néo-Romantime" (2004)
Fotografía (c) Daniel Yáñez González-Irún, 2009